L’oeuvre d’art : croisement des regards plurigénérationnels
lundi 23 novembre 2015, par
Le projet culturel prévoit l’appropriation du patrimoine par les élèves... à commencer par les oeuvres artistiques les plus proches comme les trois sculptures placées en 1994 dans le tout nouveau collège Leroi-Gourhan. Dans un contexte grave (la destruction de la cité antique de Palmyre, les tags sur "Dirty Corner" à Versailles), les élèves et les visiteurs ont été amenés à réfléchir sur le rôle de l’artiste et de sa création dans la société et les réactions diamétralement opposées (vénération, haine destructrice) qu’elle peut susciter. Glissement du projet culturel vers une éducation citoyenne au respect
Les trois premiers clichés (-30, -25, -35) montrent comment l’artiste a réussi à capter l’attention des élèves qui progressivement s’approprient un élément du décor scolaire qu’ils avaient seulement contourné jusqu’alors. Ils en prennent possession ... <nivoslider_doc|id=4,2,5,7,9|effect=fade|controlNav=false>
Sur les trois clichés suivants (-52, -58, -48) figurent le public extérieur qui a franchi le seuil de l’établissement pour voir ce qu’il s’y passe. Elèves et visiteurs se retrouvent, croisement de générations, rencontre pour un sujet... même quelques personnes de l’EPHAD voisin se sont déplacées... En circulant dans le couloir du bâtiment, les anciens croisaient le regard des collégiens qui travaillaient en classe la porte ouverte...
Enfin sur les trois dernières photos figurent les personnes qui ont accepté d’intervenir modestement aux côtés de l’artiste à l’honneur pour apporter des éléments d’analyse ou de réflexion : madame Leroi-Gourhan (fille du chercheur éponyme du collège), monsieur Chollet, principal.